Paris St germain

Il reste dix journées au PSG pour se sauver. C'est peu et suffisant à la fois car le club de la capitale ne compte que deux points de retard sur Troyes, le premier non-relégable. Mais son programme ne s'annonce pas de tout repos avec Rennes, Lens et Lyon mais aussi des matches à "six points" contre Nantes, Nice et Troyes. Présent depuis 1974 au sein de l'élite, le PSG n'a jamais été aussi près d'une relégation. Une catastrophe pour lui, pour la ville, les diffuseurs, les sponsors et le football français en général. Voici un peu de football fiction pour dédramatiser l'affaire.

OH LES BELLES AFFICHES !

PSG-Angers, PSG-Clermont et PSG-Boulogne-sur-mer. Pas besoin d'être plus explicite. Si Paris descend en Ligue 2, les affiches proposées au Parc des Princes tiendraient plus de l'irréel ou de la Coupe de France. Sans oublier Libourne-Saint-Seurin, Dijon ou encore Gueugnon (tient une vieille connaissance!)... Sans vouloir offenser ces équipes, le stade de la Porte de Saint-Cloud serait difficile à remplir. Les Franciliens ne pourraient même pas se consoler avec un "derby" car Créteil est actuellement relégable et le Paris FC n'est pas dans la bonne charrette pour la montée de National. On attend depuis longtemps l'arrivée d'un deuxième grand club parisien pour concurrencer le PSG en Ligue 1. Il est possible qu'il n'y en ait même pas un l'an prochain.

LE PSG VERSION 2007-2008

Partons du principe que les "stars" ne resteront pas. La baisse de salaire, conséquence de la descente, n'est tout simplement pas possible à admettre. Plus de Kalou, de Pauleta, de Rothen, de Landreau... même Paul le Guen a laissé sa place à son ami Vincent Guérin, actuellement entraîneur de la réserve. Pour s'aguerrir un peu plus, c'est l'idéal, comme pour les joueurs. Guy Lacombe a d'ailleurs eu le nez creux en lançant plusieurs jeunes dans le grand bain avant son limogeage. Voici donc à quoi pourrait ressembler l'équipe-type du PSG, dans sa version Ligue 2: Nicolas Cousin dans le but, Larrys Mabiala, Mamadou Sakho, Sammy Traore et Boukary Dramé en défense, Clément Chantôme, Youssuf Mulumbu, Samuel Piètre et Albert Banning au milieu avec David N'Gog et Yannick Boli (le neveu de...), à la pointe de l'attaque. On pourrait même assister à des retours improbables de prêts (Bueno, Pancrate, Dja Djedje, Haddad,...) ou d'anciens joueurs (Ducrocq, Abriel, Ogebeche, actuellement en D2 espagnole, ...).

LE PSG A JEAN-BOUIN?

Puisque le PSG ne pourra assurer au Parc des Princes et à ses nouveaux propriétaires, un taux de remplissage ne serait-ce que minimal, pourquoi ne pas échanger (comme une chaîne de télévision le fait avec les mamans, les maisons, ...) son antre avec celle du Stade Français pendant son purgatoire? Jean-Bouin et ses 10 000 places feraient largement l'affaire pour une équipe de L2 et les associations de riverains de la Porte d'Auteuil le verraient franchement d'un bon oeil. Le Stade Français qui, au moins lui, caracole en tête de l'élite du rugby et joue régulièrement la grande Coupe d'Europe, aurait un stade à la hauteur de ses résultats. Impossible toutefois. La Ligue nationale ne laissera jamais faire. Le PSG en Ligue 2, c'est une occasion trop belle pour faire grimper en flèche l'affluence du championnat.

LE PSG EN CLAIR

Fini les rencontres du PSG en crypté. Un coup dur pour le diffuseur et pour la Ligue qui doit renégocier les droits de l'élite à l'automne prochain. Un peu comme l'action de l'OL actuellement, le cours de la L1 serait à la baisse (celui de Ligue 2 en revanche aurait une sacré cote). Pour les supporters, il faudra donc plutôt investir dans un abonnement, forcément revu à la baisse, et sur les déplacements. Amiens, Reims et Châteauroux, c'est quand même plus près que Marseille, Bordeaux ou Toulouse. Les réseaux de transports régionaux suffiraient presque. Même le club économiserait. Ça tombe bien, son budget a été divisé par deux avec cette descente. Fini l'avion, place au car et à ses ambiances colonies de vacances. Forcément, en Ligue 2, le PSG aura plus de chances de revenir avec des victoires qu'avec les valises pleines.


source Eurosport

que dire je suis super decu mais on a ce qu'on merite

rien et fini tout est encore possible pour le PSG il reste dix match jespere quil vont ce reveillier un club comme celuis la doit rester en dans l'elite.

Paris sera peut etre le seul representant francais en uefa cup en esperant ne pas prendre une valise comme lens hier soir

Je comprends comment avec l'équipe qu'ils otn ils arrivent pas à gagner en L1.
Il y a certaineemnt des problèmes de mentalité.

Hier soir le paris saint germain s'est encore fait volé un match par des décisions arbitrales vraiment bizarre (combria gros tacle par derriere aucun carton jaune, un penalty oublié en 1ere mi temps, et un penalty imaginaire pour le benfica)

Le PSG sort de la coupe de l'UEFA grandit mais frustré

Il est temps pour le PSG de repartir à zéro.
Une saison au purgatoire ne ferait pas de mal, comme pour Nantes, et je ne doute pas que le club s'en relèvera.

Pourtant il avaient pas si mal commencés la saison.
Le faite c'est que quand il y a 1 mois ils ont réussi à gagner 2/3 matchs d'affiler leur concurrent direct eux aussi relevaient.
Ce qui fait que maintenant ils sont 18ieme.

Dominé par des Bretons enthousiastes et combatifs (1-0), le PSG s'incline à Rennes (1-0). Les joueurs parisiens signent une quatrième défaite consécutive et restent scotchés à la 19e place. En revanche, le Stade Rennais, lui, n'est qu'à quatre longueurs d'un ticket pour la prochaine C1.

En s'imposant à Lens (2-1) pour la première fois depuis dix ans, le PSG quitte la zone rouge et se retrouve 17e après cette 30e journée. Dominés par des Sang et Or cueillis à froid, les Franciliens ont su relever la tête pour forcer leur destin. Un vrai bol d'air après quatre défaites consécutives

Cayzac : "Pauleta sera parisien l'année prochaine."




C'est lors d'une interview réalisée hier soir par Pascal Praud sur RTL qu'Alain Cayzac est revenu sur la place de Pauleta au PSG, et sur l'éventuel phase de déclin du buteur.

Alain Cayzac a donc tenu à rassurer les supporters de l'aigle des Açores, « Oui, il sera parisien l'année prochaine. » , confie le président parisien, avant de rebondir quant à la question d'un éventuel déclin du buteur portugais, « Non je ne crois pas du tout. Le déclin ça ne vient pas comme ça. Je pense que c'est un joueur qui a eu un petit peu moins de réussite, et puis il y a de la concurrence au Paris Saint-germain : Luyindula est arrivé, Diané est en train de faire des progrès, mais Pedro accepte… enfin, je pense que n'importe quel joueur préfère jouer que de ne pas jouer mais en tout cas je peux vous dire qu'il a un comportement exemplaire, qu'il est parisien à part entière et qu'il le sera l'année prochaine. »

Voici de quoi rassurer ceux qui craignaient de voir l'aigle des Açores s'envoler loin de la capitale et de son Parc des Princes

Diané veut rester



Auteur d'une saison inconstante mais néanmoins pleine de promesses, Amara Diané est revenu sur sa saison en répondant à une interview réalisée par le site Maxifoot .


Son avenir

Approché par plusieurs clubs, Diané affirme toutefois ne pas avoir «envie de partir alors qu'il lui reste encore «trois ans de contrat» tout en se montrant prudent sur les choix de Paul Le Guen durant l'intersaison: «Les trois quarts des joueurs parisiens ont été choisis par Laurent Fournier, puis par Guy Lacombe. Imaginons que Paul Le Guen me dise qu'il ne compte plus sur moi et qu'il souhaite me remplacer, je devrai bien me chercher un autre club…» . Très souvent utilisé par Paul Le Guen, l'ivoirien n'a guère de soucis à se faire....


Son positionnement

Arrivé à Paris en étant considéré comme un joueur offensif polyvalent pouvant aussi bien évoluer milieu droit qu'attaquant de soutien ou de pointe; Amara Diané fut le plus souvent utilisé en tant que milieu excentré plutôt qu'attaquant que ce soit avec Guy Lacombe ou Paul Le Guen. Quel est donc son poste de prédilection ? «En pointe, dans l'axe» répond-t'il. Sur le même thème, l'ivoirien revient sur l'ère Lacombe où il ne manque pas d'égratigner son ancien entraîneur... «Il y a eu des moments en début de saison, où j'avais du mal à comprendre les options de Guy Lacombe. Ca variait d'un match à l'autre, en fonction de l'adversaire. Le schéma était un peu flou, on avait du mal à trouver des repères sur le terrain…»


Le maintien

Expérimenté dans l'art de jouer le maintien depuis sa saison passée avec Strasbourg (reléguée depuis en L2), Diané fait partie des rares joueurs de l'effectif parisien à avoir déjà connu situation analogue: «C'est vrai que la situation au classement est la même. Mais tout le reste est assez différent. A Paris, ce n'est pas la même pression, pas le même effectif, pas le même budget. Lorsqu'une équipe comme Strasbourg descend, cela ne génère pas la même agitation médiatique que lorsqu'une équipe comme Paris est en difficulté. Nous, les joueurs, devons gérer cette situation. Les trois matches que je crains le plus sont ceux qui vont nous mettre aux prises avec nos adversaires pour le maintien : Nantes, Troyes et Nice. Ce seront certainement des matches au couteau ! Nous devrons être très forts mentalement…»